L’exploration spatiale fait appel à de multiples sources d’énergie, par exemple pour alimenter les sondes, les satellites et les vols spatiaux habités ; s’ajoutent les nombreux équipements, eux aussi en demande d’énergie. Des panneaux solaires aux générateurs thermoélectriques, en passant par les batteries, les réacteurs nucléaires mais aussi les carburants chimiques, chaque source d’énergie entre en scène et le choix de l’une ou l’autre s’effectue en fonction des spécificités des missions. Evoquer les énergies requises pour une mission spatiale serait inconcevable sans parler de celle de son équipage. Comment s’entraîner, s’organiser, gérer ses périodes d’activité et de repos ; comment s’organiser en équipe, coopérer, décider ? L’humain et la machine avancent de concert.
Alors que nous faisons face aux réalités et à l’urgence des changements climatiques, des actions s’imposent pour tous, y compris pour la filière agroalimentaire. Cet exercice doit intégrer l’ensemble de la filière – de la production jusqu’à l’assiette – dans une dynamique de circularité maximale. L’aboutissement logique est d’appliquer les 3 RVE (Réduction à la source, Réutilisation, Recyclage et Valorisation) pour une économie sobre en carbone afin de tendre vers la carboneutralité de la filière. Cette finalité oblige à une mobilisation des citoyens, et en particulier de tous les acteurs de la chaine d’approvisionnement. Une des priorités de cette filière est de proposer des produits décarbonisés avec la plus faible empreinte carbone. Les signaux des investisseurs, de la population et des marchés pour l’exportation favorisent cette posture. Nous observons plusieurs tendances qui s’accélèrent, dont la nécessité de regarder et d’appliquer un cocktail de choix des différentes protéines (animales, végétales et alternatives), qui sont incontournables et intimement liées. Les façons de faire devront être revues et repensées, en termes de modèles financiers, de modèles d’affaires, de gouvernance et des nouvelles tendances technologiques. Renforcement des chaines d’approvisionnement, circuits courts, achat local, fermes sobres en carbone, fertilisants verts, nouvelles technologies et IA, sont autant de thématiques majeures. Créer des ponts et chercher les meilleures pratiques à travers le monde s’imposent pour faire face à tous ces défis. L’action doit se penser tant globalement que localement par des réalisations rapides et concrètes.
Le financement des entreprises en démarrage est relativement complexe. Généralement des fonds sont disponibles pour les secteurs de la recherche et du développement. Il y a aussi les capitaux-risques traditionnels enclins à soutenir les entreprises lorsqu’elles seront en phase de croissance ou d’expansion. Que se passe-t-il entre les deux ? Là où l’on considère souvent la commercialisation comme étant la Vallée de la mort en marketing ? C’est une période chronophage pour générer les premières productions, organiser la promotion, engager la recherche de contrats. Sont aussi à gérer tous les aléas administratifs relatifs à la certification, à l’homologation ainsi que les facettes variées de la vente et du service après-vente. Comment soutenir les jeunes pousses pour qu’elles traversent cette Vallée avec succès ?
Chaque année plusieurs entreprises voient le jour. Malheureusement, à court terme, environ 90 % des startups échouent complètement. Environ 15 % de celles qui survivent réussissent à percer dans les huit principaux écosystèmes de startups américaines. On retrouve des statistiques similaires en France. Outre les startups, plusieurs entreprises ayant franchi la barre des cinq ans d’existence n’expriment pas leur plein potentiel. Ce débat évoque les défis à relever et les clés requises pour garantir une croissance optimale et pérenne. Parmi les principaux défis : le positionnement stratégique des entreprises en fonction des besoins des marchés et des offres concurrentes, les besoins en capitaux et en ressources humaines, le développement de l’offre sur le plan technologique, le modèle d’affaires et son développement.
Les municipalités du Québec sont des acteurs essentiels pour atteindre la carboneutralité d’ici 2050. Elles jouent un rôle crucial dans la décarbonation, la production d’énergie renouvelable et l’efficacité énergétique, contribuant ainsi à la diversification des revenus et au développement économique local. En sensibilisant la population à mieux consommer l’électricité, en favorisant l’acceptabilité sociale des projets énergétiques et en accélérant la production d’énergie, les municipalités deviennent des partenaires clés de la transition énergétique au Québec. En collaborant avec les gouvernements et les acteurs de l’énergie, les municipalités peuvent améliorer la résilience énergétique des communautés et contribuer activement à relever les défis climatiques et énergétiques actuels.
En pleine transition énergétique, les industries et les organismes municipaux souhaitent s’éloigner des énergies fossiles et transiter vers les énergies vertes. La mise en place de partenariats entre ces deux secteurs est-elle possible, et ce, dans une perspective de développement durable ? Les Défis Innovation, pilotés par Alliance Métal Québec pour le secteur de la Fabrication métallique industrielle, peuvent-ils leur permettre d’accélérer cette transition et de faire tomber les obstacles ? Les Défis innovation, initiée par Alliance Métal Québec, bénéficie d’une subvention du MEIE dans le cadre de la mesure Défis innovation Québec. Découvrez comment des PME relèveront le défi de développer des produits actuellement inexistants afin de répondre aux besoins des organismes municipaux. Cette discussion essentielle permettra de créer des ponts entre plusieurs réalités qui coexistent.
Avez-vous l’envie de plonger au cœur du débat sur la sobriété énergétique ? Faut-il l’imposer ou la laisser à la libre adoption ? Rejoignez cinq étudiants des cycles supérieurs, représentant diverses disciplines, pour une exploration approfondie des enjeux liés à la transition énergétique. Quels sont les arguments en faveur de l’imposition de la sobriété énergétique ? Comment justifient-ils l’urgence d’agir face à la crise climatique ? À l’inverse, quels sont les arguments en faveur de la liberté individuelle dans ce domaine ? Comment mettent-ils en avant les possibilités offertes par l’innovation technologique ? Attendez-vous à des échanges passionnés et à des idées novatrices qui enrichiront votre compréhension des défis énergétiques contemporains. Comment cette diversité des disciplines représentées influencera-t-elle la discussion ? Quels aspects sociaux, économiques et environnementaux de la sobriété énergétique seront abordés ? Quelles actions peuvent être envisagées pour répondre à ces défis de manière efficace et équitable ?